mercredi 25 août 2010

vendredi 20 août 2010

Nicolas de Stael

"Plus l'ombre est précise, forte, inévitable, plus on a la chancede faire vite, clair , foudroyant

mercredi 18 août 2010

mardi 10 août 2010

J'ai récupéré mon internet et vais pouvoir vous lire...


Et j'ai aussi un nouveau petit appareil photo mais il faut que je m'habitue...le dernier c'était celui de Morgan

vendredi 6 août 2010

Baibars,Marcel Bozonnnet, Théatre Sylvia Monfort

Textures

Carlos Saura ; Les yeux bandés

"S comme...
Carlos Saura
Son nom apparaît au moment où celui de Juan Antonio Bardem commence à décliner, et il devient rapidement le chef de file du nouveau cinéma espagnol qui émerge dans les années 60, lorsque le poids du franquisme sur la culture s'allège quelque peu. Il décroche deux fois l'Ours d'argent à Berlin, en 1966 pour La Chasse et en 1968 pour Peppermint frappé. Les dix années qui séparent Le Jardin des délices (1970) de Vivre vite (1980) sont marquées par une succession de films importants, Ana et les loups, La Cousine Angélique, Cria cuervos, Elisa vida mia, Les Yeux bandés, qui obtiennent un succès international sans que Carlos Saura fasse quelque concession que ce soit à la facilité. Ses thèmes propres - la mémoire, la famille, le rapport enfant-adulte, le refoulement sexuel, le poids du passé - sont parfaitement mis en valeur par son scénariste attitré, Rafael Azcona, et son actrice (alors son épouse) Geraldine Chaplin, avec laquelle il tournera neuf films. Paradoxalement, la fin du franquisme et la libéralisation du régime, qui auraient dû lui permettre de s'exprimer pleinement, correspondent à une baisse d'inspiration et les réussites deviennent rares, Ay Carmela ! (1990) excepté. Il se consacre à des sujets moins personnels, adaptations de Lorca ou de Bizet, s'intéresse à la danse et à la musique (L'Amour sorcier, Flamenco, jusqu'à son très récent Fados, 2007), dans des productions nombreuses et irréprochables mais dont l'intérêt s'effrite. Mais, pour les six ou sept titres des années 70 qui demeurent des perles étranges, et le regard inoubliable d'Ana Torrent dans Cria cuervos, on peut lui conserver longtemps encore une reconnaissance certaine."

mardi 3 août 2010

dimanche 1 août 2010

Photographie

Falaise
Éboulis blanc à ses pieds
Je regarde la mer
Elle hausse le ton face à cet épaulement détaché
Presque hautain.
Plusieurs essais se dénouent en effilochages perlés de sauts irrationnels torsadés
Pas de deux

la lutte a lieu dans un plan frontal
Un souvenir se déroule en mémoire
La ligne cicatricielle des brisures
Gigantesque mâchoire

Une mouette glisse
Un cri
L'âme plonge dans ce visage frappé de deuil dont la lumière fuit

Je photographie

Arturo Benedetti Michelangeli,Chopin, Sonate en si bémol majeur

Mischa Elman Enrico Caruso: Elégie Massenet